J'ai voulu tester ce "michepape" évoqué depuis quelque temps par Loco-Revue. Après avoir mis à contribution mon entourage pour récupérer des boites à oeufs, j'ai préparé hier soir une dose de bouts découpés de ces boites dans l'eau d'un seau. 24h après, j'ai mélangé ces bouts avec un mélangeur associé à une perceuse électrique. Après avoir versé cette "mélasse" dans une auge spécialement utilisée pour le plâtre, j'y ai ajouté de l'eau et un colorant vert en poudre. C'est une technique que j'emploie depuis plusieurs années pour avoir une masse de plâtre dans la teinte, afin de ne pus voir du plâtre blanc apparaître lors de travaux. Je pousse même le luxe de faire un premier mélange de terre avant de passer une couche verte!!
Après homogénéisation, j'ai ajouté le plâtre à modeler. Après quelques minutes, de repos pour laisser le plâtre s'humecter, j'ai gâché l'ensemble avec une truelle comme avec du plâtre seul. Après un nouveau repos de 10' au moins, j'ai commencé à étendre le "michepape" sur le décor que j'avais préparé la veille, avec du grillage, du papier glacé de journal et de la bande plâtrée selon la méthode de Jean-Michel Vanderborght lue dans Loco-Revue de mai.
Le résultat est intéressant. Le "michepape" offre à la fois de la souplesse et une plus forte propension au remplissage de volumes. J'ai ainsi bouché avec le mélange des trous oubliés avec des boules de papier.
Le mélange s'est "saisi" avec la même vitesse que du plâtre simple c'est-à-dire au bout de 20'. Le "michepape" a donc commencé à durcir rapidement. Mais j'ai remarqué que malaxer à la main, le "michepape" avait tendance à retrouver la texture de la pâte à modeler. J'ai certainement mis trop de plâtre, dans les proportions habituelles pour du plâtre seul. Il est vrai que j'ai utilisé du plâtre à modeler acheté cet après-midi. Car il faut bannir tout plâtre issu d'un sac ouvert depuis plusieurs semaines, et tout sac non ouvert depuis plusieurs mois. C'est la condition sine qua non pour une bonne prise du plâtre.
Demain, je vais continuer car j'ai encore préparé une dose de bouts de cellulose dans le seau. Je vais essayer de maîtriser la durée . J'envisage de faire systématiquement tous les décors restants avec ce matériau. Pour cela, je vais élargir la collecte des boites à oeufs !!
Après homogénéisation, j'ai ajouté le plâtre à modeler. Après quelques minutes, de repos pour laisser le plâtre s'humecter, j'ai gâché l'ensemble avec une truelle comme avec du plâtre seul. Après un nouveau repos de 10' au moins, j'ai commencé à étendre le "michepape" sur le décor que j'avais préparé la veille, avec du grillage, du papier glacé de journal et de la bande plâtrée selon la méthode de Jean-Michel Vanderborght lue dans Loco-Revue de mai.
Le résultat est intéressant. Le "michepape" offre à la fois de la souplesse et une plus forte propension au remplissage de volumes. J'ai ainsi bouché avec le mélange des trous oubliés avec des boules de papier.
Le mélange s'est "saisi" avec la même vitesse que du plâtre simple c'est-à-dire au bout de 20'. Le "michepape" a donc commencé à durcir rapidement. Mais j'ai remarqué que malaxer à la main, le "michepape" avait tendance à retrouver la texture de la pâte à modeler. J'ai certainement mis trop de plâtre, dans les proportions habituelles pour du plâtre seul. Il est vrai que j'ai utilisé du plâtre à modeler acheté cet après-midi. Car il faut bannir tout plâtre issu d'un sac ouvert depuis plusieurs semaines, et tout sac non ouvert depuis plusieurs mois. C'est la condition sine qua non pour une bonne prise du plâtre.
Demain, je vais continuer car j'ai encore préparé une dose de bouts de cellulose dans le seau. Je vais essayer de maîtriser la durée . J'envisage de faire systématiquement tous les décors restants avec ce matériau. Pour cela, je vais élargir la collecte des boites à oeufs !!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire